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Son corps forme un divan tiède et capitonné…
De ses yeux fatigués descendent les paresses.
Sa gorge est l’oreiller blanc, où pelotonné,
Le spleen vient alanguir les trop vives caresses.
Son corps forme un divan tiède et capitonné.


Sur son clavier de nerfs aux notes détraquées.
Pleure le lamento des cœurs ivres d’ennuis.
Pourtant le hallali des extases traquées
Se sonne allègrement aux belliqueuses nuits
Sur son clavier de nerfs aux notes détraquées.


Mais son amour est doux comme un soleil couché.
Pour qui sait la comprendre, en ma Jane est caché
Ce charme douloureux (méconnu du profane)
Du parfum qui s’évente et de la fleur qui fane,
Car son amour est doux comme un soleil couché.


Vignette de fin de chapitre
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