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— Sur les lambris dûment dorés
Et mordorés,
En une pétulante tache
Le corps détache


Sa silhouette et ses contours
Aux vifs atours…
Pourtant, obsédante équivoque !
Ce coin m’évoque,


En son monde pâle et pimpant
Se découpant
Sur des fonds où l’on voit se suivre
L’or et le cuivre,


Les vieux chefs-d’œuvre byzantins
Où, mes catins,
Luisent les Vierges chlorotiques
Des bons gothiques !


Vignette de fin de chapitre