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Page:Hannon - Rimes de joie, 1881.djvu/217

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Sur ta bouche, fleur chatoyante
Dans ce bouquet vif et malsain,
Bientôt la Pommade Raisin
Étendit sa laque voyante.


Puis une mouche de velours,
Au coin de l’œil qui me calcine,
S’en vint se poser, assassine…
Et tu levas les rideaux lourds.


IV



Chassant à sa flamme incongrue
Le chœur des ombres, chœur charmant,
Dans la chambre aussitôt se rue !
Le soleil, despotiquement.


À sa lumière qui rehausse
Ton maquillage délicat,
Tu m’apparus dans tout l’éclat
De ta floraison de fleur fausse.