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En grand courroux la mer hurle, mugit, se cabre,
Conviant les flots noirs à la valse macabre
Que cingle dans son vol l’aile des goëlands.


Loin, bien loin, par delà la vague aux cris troublants,
Comme au fond de mon cœur où vient sourdre une larme,
Gronde confusément quelque canon d’alarme.


Nieuport-bains.

Vignette de fin de chapitre
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