Parfums Aimés
uand par la nuit, comme un voleur,
Désertant l’énervante alcôve,
De tes bras altiers je me sauve
Sans force, sans voix, sans chaleur.
Quand je me hâte en la nuit froide,
Le front pâle, les yeux rougis,
Fiévreux, regagnant d’un pied roide
Tristement mon triste logis.
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