Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/114

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J’avais prévenu les sauvages de ne pas la renverser, ou qu’il leur en arriverait malheur : ils méprisèrent mes avertissements. Un jour que j’étais avec eux à la pêche, une femme l’arracha, et la donna à son mari pour polir des coquillages dont les sauvages font des colliers, ce qui me fit beaucoup de peine. Bientôt après il commença à pleuvoir, et cela dura plusieurs jours.