Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/149

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

malade pour pouvoir venir ; mais qu’il savait bien que je pouvais, si je voulais, lui rendre la santé. Je lui promis qu’il aurait bientôt la force de revenir dans son village, et que sa santé finirait par se rétablir tout à fait. Il retourna avec cette réponse à Mambukabe, qui est éloigné de quatre milles d’Uwattibi, où nous étions.