Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/157

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CHAPITRE XXXV.


Comment le Français qui leur avait conseillé de me dévorer revint au village, et comment je le suppliai de m’emmener avec lui ; mais mon maître ne voulut pas y consentir.


En me quittant, Karwattuwar, le Français dont j’ai parlé, était parti avec des Indiens amis de ses compatriotes, pour rassembler des marchandises dont les sauvages font commerce, savoir : du poivre et certaines espèces de plumes.

Quand il voulut retourner à l’endroit où les