Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/166

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Je priai le ciel, qui m’avait déjà préservé si souvent, de détourner encore cette fois leur colère »

Mais le temps étant redevenu beau au point du jour, ils s’apaisèrent et se mirent à boire. Je dis à l’esclave : « C’est Dieu qui a excité ce grand orage et qui veut t’avoir. » Le lendemain il fut dévoré. On verra à la fin de cet ouvrage les cérémonies qui s’observent à cette occasion.