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CHAPITRE XL.


De l’arrivée d’un vaisseau français qui acheta aux sauvages du coton et du bois du Brésil, et à bord duquel je me serais volontiers embarqué si Dieu l’avait voulu permettre.


Huit jours avant l’époque qu’ils avaient fixée pour leur expédition, un vaisseau français entra dans une baie que les Portugais nomment Rio-de-Janeiro, et les Indiens Iterronne. C’est là que les Français ont l’habitude de charger du bois du Brésil. Ils vinrent avec une embarcation au village où j’étais, et achetèrent aux