Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/226

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que je ne voulais pas y consentir, il me fit avoir un passe-port de M. l’amiral, gouverneur de la Normandie. Celui-ci, qui avait déjà entendu parler de moi, me fit venir et m’en expédia un. Le capitaine me donna quelqu’argent pour ma route. J’allai de Honfleur à Habelnoeff (le Havre-Neuf), et de là à Depen (Dieppe).