Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/231

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que mes pères ont toujours craint. Mais, Seigneur, tu peux me délivrer ; et, je t’en supplie, délivre-moi ! Quand tu l’auras fait, je ne l’attribuerai pas au hasard : je reconnaîtrai que c’est ta main qui est venue à mon secours, lorsque le pouvoir des hommes était impuissant ; et je répéterai tes louanges et tes bienfaits parmi toutes les nations. Amen.


FIN.