Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/322

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de la plus petite espèce est bien meilleur que celui des deux autres. Leur piqûre n’est pas si douloureuse que celles des abeilles de notre pays ; car j’ai souvent vu les sauvages en être couverts en enlevant le miel, et moi-même j’en ai enlevé quoiqu’étant nu. Cependant je conviens que la première fois la douleur me força à me réfugier dans un ruisseau pour m’en débarrasser.