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Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/49

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nous répondirent qu’elle était à trente milles plus au sud. Une nation sauvage, appelée Carios, dont nous devions nous méfier, l’habitait, disaient-ils, et les naturels du port où nous nous trouvions se nommaient Tuppin-Ikins, ils étaient amis des Portugais ; c’est pourquoi nous pouvions être sans crainte.

La latitude de ce pays était, suivant eux, par 38 degrés, comme cela est en effet ; ils nous donnèrent en même temps des signes de reconnaissance.