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Page:Haraucourt - L’Âme nue, 1885.djvu/263

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LA VIE INTÉRIEURE.

 
J’aspire après la mort qui guérit d’être un homme ;
Et je vous bénirai, frères, au soir final :
Car vos mains, en clouant le lit du dernier somme,
Pour la première fois ne m’auront pas fait mal !