ENVOI
À Gaston Béthune
rère, le plus aimé de mes plus chers amis,
Esprit vibrant et souple où la nature a mis
Des grandeurs de poëte et des douceurs de femme ;
Toi qui me consolais dans mes jours de rancœur ;
Qui réchauffais mon âme aux chaleurs de ton âme
Quand le dégoût d’être homme humiliait mon cœur ;