Page:Hardouin - La Detenue de Versailles en 1871.pdf/123

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rieux effets de la jubilation du prêtre, je montai cette fois à la chapelle. Toutefois la prière eut lieu sans incident notable : celle-ci terminée, on entonna les cantiques. J’écoutai, mais à part quelques notes d’un timbre un peu cuivré, à part trois ou quatre éclats de voix étrangers à tous les diapasons connus, rien ne trahit chez l’abbé le trop plein des émotions du dîner.