Page:Hardy - Deux yeux bleus, trad. Paul-Margueritte, 1913.djvu/364

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XXVI. — « A ce dernier rien qui pourrit sous terre. » 
 235
XXVII. — « Comment t’accueillerais-je ? » 
 241
XXVIII. — « Je berce mon tourment. » 
 256
XXIX. — « Attention ? tu te corromps ! » 
 266
XXX. — « Vassale de l’amour. » 
 279
XXXI. — « Un ver dans le fruit. » 
 288
XXXII. — « J’aurais voulu savoir avant de t’embrasser… » 
 295
XXXIII. — « O fille de Babylone te voilà consumée de chagrin ! » 
 302
XXXIV. — « Oui, heureux celui qui te récompensera selon tes mérites. » 
 308
XXXV. — « Vas-tu me quitter ainsi ? Dis non ! Dis non ! » 
 316
XXXVI. — « Argent, succès… » 
 322
XXXVII. — « Longtemps après » 
 326
XXXVIII. — « La jalousie est cruelle comme la mort. » 
 331
XXXIX. — « Tous deux aux côtés de l’aimée… » 
 340
XL. — « Soyez la bienvenue, noble dame. » 
 348