Page:Harel - Aux champs, 1886.djvu/32

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La scène change à la fin ;
Golombine en séraphin,
Fendant la voûte azurée,
Vient descendre au dénouement.
Le Printemps fait brusquement
Son entrée.

Arlequin lui santé au cou,
Puis, il jette dans un trou
Cassandre ébloui qu’il brave,
Et le vieil Hiver sournois
Est verrouillé pour neuf mois
Dans sa cave.

Devant le trou du souffleur,
L’œil en feu, la joue en fleur,
Colombine au bon parterre
Chante le couplet final
Du mélodrame hivernal
Qu’on enterre.