Page:Harvey - La Circulation du sang, trad. Richet, 1879.djvu/48

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parer les grandes choses aux petites. Ainsi vous pourrez, sire, vous qui êtes placé au faîte des choses de ce monde, en connaissant le souverain principe du corps, admirer en lui l’image de votre pouvoir. Accueillez donc, je vous en prie humblement, roi sérénissime, avec votre bienveillance accoutumée, ce travail nouveau sur les fonctions du cœur, vous, la splendeur nouvelle et vraiment le cœur de ce siècle, prince plein de vertu et de bonté, vous à qui nous reportons à bon droit tout ce que notre Angleterre a de gloire, tout ce que notre vie a d’utile.

De votre auguste Majesté,
le très dévoué serviteur,
GUILLAUME HARVEY