Page:Hasdeu - Bourgeons d’avril, 1889.djvu/156

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Je pourrais vous dire bien bas
Que tous vos charmes
Que tous vos merveilleux appas
Ont souvent fait couler des larmes ;
Mais à quoi bon ? Vous ne le croiriez pas.


*


Enfin, avec un trouble extrême
Avec ardeur
Je vous dirais que je vous aime
Que vous avez blessé mon cœur
Mais à quoi bon ? Vous le savez vous même.


1864