Page:Hasdeu - Bourgeons d’avril, 1889.djvu/177

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XLVIL.

POURQUOI ?


Tiens ! il a passé tout à l’heure
L’œil farouche, le front baissé
Il n’a point souri, et je pleure...
Ah ! pourquoi donc a-t-il passé ?

Il m’en veut, il est en colère :
Son cœur pour moi s’est-il glacé ?
Je n’ai rien fait pour lui déplaire
Ah ! pourquoi donc a-t-il passé ?