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— C’est pour vos premiers besoins, dit-il en poussant Chvéïk dans un restaurant de vin qui tenait le coin de la rue, je vous comprends si bien ! vous n’avez rien à craindre avec moi.
Chvéïk revint tard dans la nuit chez le feldkurat qui, lui, n’était pas encore rentré.
Il arriva le matin seulement, réveilla Chvéïk et lui dit :
— Demain, nous disons une messe au camp. Tâchez de faire du café au rhum. Ou plutôt, faites un grog : j’aime autant ça, d’ailleurs.