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de bibliothèque, qui fait suite aux collections académiques. Le recueil se continua sous cette nouvelle forme, à raison de 2 volumes par an[1].

Il passa dans les mains de Mongez en 1779 ; en 1794, il prit le titre de Journal de physique, et fut rédigé par J.-A. de la Métherie de 1785 à 1817, et par M. Ducrotay de Blainville jusqu’en 1823. La collection, de 1794 à 1823, forme 96 vol. in-4o.

Ce recueil, dont tout le monde connaît la valeur, ne ressemble en rien aux autres feuilles périodiques. C’est une collection de différents mémoires et expériences scientifiques, traduits de toutes les langues de l’Europe. Il se joint aux volumes de l’Académie des Sciences et aux collections académiques.


La Nature considérée sous ses différents aspects, par Buc’hoz. — Cette publication commença en 1768, sous le titre de : Lettres périodiques sur la méthode de s’enrichir promptement et conserver sa santé par la culture des végétaux, 1768-70, 5 vol. in-8o. — En 1769, l’auteur y ajouta de nouvelles Lettres périodiques, curieuses, utiles et intéressantes, sur les avantages que la société économique peut retirer de la connaissance des animaux, 1769-70, 4 vol. in-8o. — Et en 1770, une troisième feuille : Lettres hebdomadaires sur l’utilité

  1. La partie in-12 fut réimprimée en 2 vol. in-4o.