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Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/40

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Contre l’étranger que rien n’assimile
Canons et fusils partiront tout seuls,
Tant pis si nos morts se comptent par mille,
Nos femmes sauront tisser leurs linceuls !

L’esclave d’hier redresse la tête,
Il a pris le fer contre ses tyrans ;
Hardi les enfants ! C’est la grande fête !
Contre l’ennemi serrons tous les rangs !