Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/51

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Un jour, adieu la quiétude,
Vous voyez l’arbre !… Il est trop tard !…
Voici venir la multitude,
Autour des rouges étendards !…

Entendez-vous ? Voilà
Venir les hordes d’Attila !