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Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/75

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O Grèce, ô ma Patrie, ô ma divine mère,
L’heure est venue où tu dois ceindre le laurier,
Chasse le souvenir de tes larmes amères,
Et reconnais tes fils, en ces nobles guerriers !
Ils avaient tous juré de te rendre la place
Que tu tenais jadis parmi les nations,
Émules des héros illustres de ta race,
Pour te grandir ils ont lutté comme des lions !