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Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/99

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Or, toi, tu dévastas ce malheureux pays !
Avant ta venue, il était superbe ;
Depuis cinq cents ans, le sang qui jaillit
De nos cœurs en rougit les herbes !

Mais ce sang versé, ô Turc, aujourd’hui,
Réclame vengeance !
Regarde à l’Orient, ce grand soleil qui fuit !
C’est le soleil de notre délivrance !…