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LA MAISON DANS L’ŒIL DU CHAT
enlevée. Ses pauvres genoux ! On le ramena à son écurie : là-haut, sur le coteau, pendant que le soleil se couchait, comme cela, avec une multitude de rayons. Le ciel ressemblait à un champ de blé.
Et le petit cheval sentait son cœur lourd comme une grosse pierre et il se disait : « Vais-je mourir ? » Mais il ne mourut pas. Ce n’était que des écorchures. On le soigna très bien. On le fit reposer et on lui donna abondamment à manger.
Cependant depuis, il n’a jamais voulu, mais jamais ! reprendre le chemin en pente qui conduit dans la vallée.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1e/Havet_-_La_Maison_dans_l%E2%80%99%C5%93il_du_chat%2C_1917_%28page_36_crop%29.jpg/150px-Havet_-_La_Maison_dans_l%E2%80%99%C5%93il_du_chat%2C_1917_%28page_36_crop%29.jpg)