Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/181

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d’herbe et sa semence, sont des démonstrations d’un être intelligent qui a présidé à l’ouvrage. Or, de ces rapports de dessein, il y en a à l’infini. Pour moi, je sens mille rapports qui me font aimer votre cœur et votre esprit, et ce ne sont point des rapports aveugles. Je vous embrasse du meilleur de mon cœur, je suis trop de vos amis pour vous faire des compliments.

Mme du Châtelet a la même opinion de vous que moi ; mais vous n’en devez aucun remerciement ni à l’un ni à l’autre.