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Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/209

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permet, s’entend. Votisque assuesce vocari. Je vous embrasse tendrement ; et je vous aime trop pour mettre ici les formules de très humble.

A Cirey, ce 17.

LETTRE XXII.

Je reçois dans ce moment, mon aimable petit-fils d’Apollon, une lettre de M. votre pere, et une de vous. Le pere ne veut que me guérir, mais le fils veut faire mes plaisirs. Je suis pour le fils. Que je languisse, que je souffre, j’y consens, pourvu que vos vers soient beaux. Cultivez votre génie, mon cher enfant ; je vous y exhorte hardiment, parce que je sais que jamais vos goûts ne vous feront oublier vos devoirs, et que chez vous