Page:Hennique – Deux nouvelles, 1881.djvu/116

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pas, traversa le magasin de parfumerie, entra dans une grande salle où une vingtaine d’individus étaient éparpillés debout, assis à des tables.

— Ah ! ah ! voici M. Coquidé, cria-t-on de toutes parts.

Lui, dès la porte, s’était confectionné un air lugubre, se ménageant un effet avec le bothriocéphale de Benjamin Rozes.

— Bonjour, fit-il.

À la ronde, on lui distribua des poignées de main, mais il demeurait imperturbable. Quelqu’un finit par s’en inquiéter.

— Eh bien, quoi ?… ça ne va donc pas ?

— Monsieur Rozes a le ver solitaire, proclama Coquidé…

— Le ver solitaire ?