Page:Hennique – Deux nouvelles, 1881.djvu/31

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un antique chapeau où tremblaient, dans la candeur d’un grossier montage artificiel, quelques brindilles perlées.

L’ex-amant de Francine, Joseph Richard, le peintre, dégringolait, en effet, les dernières marches de l’escalier. Rien ne le distinguait du vulgaire. Il était accompagné par un garçon pansu dont les yeux en trous de vrille luisaient au-dessus d’une paire de joues très-nourries. L’un et l’autre étaient assez flambants dans leurs interminables gâteuses, la figure propre, la barbe peignée.

Sur ces entrefaites, arriva une vieille dame, modeste rentière pour qui Francine, lors de son arrivée à