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Page:Hennique – Deux nouvelles, 1881.djvu/76

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II



Trois fois les pendules sonnèrent dans le silence de la maison. L’horloge de la cuisine commençait, lointaine, avec timidité ; d’autres voix lui répondaient, au premier étage, à l’entresol, puis cela se terminait par un charivari clair.

Cependant, maître Rozes, échoué sur un coussin, au fond de son grand fauteuil en tapisserie, somnolait, languissait, s’attristait de plus en plus, de temps à autre poussait un soupir caverneux. Une mèche de sa chevelure correcte lui glissa vers