Page:Henri Béraud - Le Martyre de l'obèse, 1922.djvu/74

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Blois. Il nous cherche, sans doute, avec l’aide des cicerones, dans les oubliettes des châteaux de la Loire.

Voilà. Vous savez tout. Je ne vous demande pas si vous m’approuvez. Ne me plaignez pas non plus. Il en est de plus malheureux. Je crains surtout de le devenir davantage. C’est l’avenir qui m’effraie… Avez-vous entendu dire que la prudence est la vertu cardinale de l’éléphant ?