i esperant qu’il les renvoyeroit bientost ; mais je n’ay jamais entendu de des arnir mon a s, ni vous oster le mo en de le conserver. Je g P Y Y remets tousjours à vostre jugement de considerer et poiser les in- conveniens ; mais aussy, si c’est chose possible, et qui se doibve et puisse faire, je suis bien ayse d’en ayder ceulx qui en ont besoing. Au reste, il n’est pas temps de casser les gens de guerre qui estoient en pays de Bearn, pour les occasions que j’ay donné charge à du Pin de vous faire entendre. Vous sçavés la liance que j’ay en vous, et l’a— initié que je vous porte ; c’est pourquoy vous devés prendre en bonne part les commandemeus que je vous fais, tout amsy que je suis tous- ours prest de recevoir vos bons conseils et advis. Mandés-moy, je vous prye, de vos nouvellesle plus souvent que vous pourrés, et de celles de vos voisins, et vous asseurés de plus en plus que je suis Vostre trez aliectionné maistre et parfait amy, j I HENRY. De la Rochelle, ce 1nv° d’octobre. [1586. —VEP1S LE 25 OCTOBRE.] T q Cop. — Arch. de famille de M. le marquis Édouard de La Grange. i A MA COUSINE MADAME DE CAUMONT. Ma Cousine, J’ay un paquet que mlavés envoyé, et ay entendu les justes doleances que vous me faictes du s' de Quarency. Croyés, ma 4 ` Cousine, ue s’il ne tient la romesse u’il 1n’a faicte de s’ soub- . Y mettre dans dix jours (dont il y ena desjà trois passez) à des ar- bitres', je vous feray paroistre que vous n’eussiés sceu faire choix de ' Voicil’accordquifutl’aitle2 novembre ¤ Accoan rant ran ummu xv, N•Ér.im. suivant, en vertu de cette promesse. Nous ** ENCORE QUE R0! DE N^V^BRE• ENTRE avons extrait cette pièce du manuscritgde “ MM DE MAYENNE ET DE LA "^UGU‘°*' Béthune, n° 9101, fol. 7-; recto : Nous en « Mons' de Mayenne escrira de sa main conservons le titre tel qu'il est dans le à Mons' de la Vauguyon l`0ccasion qui ]'a manuscrit : meu de vouloir retirer à luy sa bellefille,
