en attendant qu’on ayt loisir de satisfaire au reste de vostre depesche. A Dieu, Monsr de Sainct Genyes ; c’est
Orig. autographe. — Arch. impériales de Vienne. Copie prise par M. Michelan, ancien magistrat, pendant un voyage en Allemagne.
Madame, Encores que j’aye faict response à Vostre Majesté sur ce qu’il luy a pleu me mander par mon cousin, monsr le mareschal de Byron, et par les srs de Pontcarré et president Brulart, j’envoye du Pin[2] vers Elle, duquel je me fie entierement, pour en recevoir vos commandemens ; lesquels il me raportera fidelement. Je vous suplie le vouloir croire tout ainsy que moy-mesme, et le me renvoyer promptement, afin d’estre esclarcy de vostre volonte envers moy, et vous asseurer, Madame, qu’il n’y a rien au monde que je desire tant que l’honneur et la faveur de vos bonnes graces, et de vous rendre l’entiere obeyssance et service, perpetuellement, que vous a voué et vous doit, pourveu qu’il vous plaise luy en donner le moyen et occasion,
Concernant les notes de bas de page tirées des Mémoires de Nevers : voir http ://fr.wikisource.org/wiki/Page :Henri_IV_-_Lettres_Missives_-_Tome2.djvu/269 page 269