` DU ROI DE NAVARRE`. A3'? 1589. —— 1 5 FEVBIEB. — II'".., ` Orig. — Arch ; royales de Saxe. Copie transmise par M. le ministre d’état baron Lindenau. ‘ ILL"" PBINCIPIBUS AC DOMINIS CHBISTIANO, SAXONIE DIJCI, JOANNI `. GEOBGIOL M.f\BCHICNI BBANDENBUBGENSI, ETC. JOACHIMO FBIDEBICO, POSTULATO ADMINISTBATORI ABCHIEPISCOPATUS MAGDENBUBGENSIS, ‘_ ETC. PHILIPPOLUDOVICO, PALATINORHENI, DUCI BAVABI/E, ETC. JU- ` LIO, DUCI BBIJNSWICENSI, ETC. UDALBICO, DUCI MEGALOPOLENSI, ETC, ’ LUDOVICO, 'DUCI WIBTENBEBGENSI, ETC.- CONSANGUINEIS ET AMICIS _ NOSTBIS CHABISSIMIS. i` ‘ Illustrissimi Princi es, Consan uinei charissimi, Non excidit nobis, P ) 8,. anno 1585, €\CC6PlSS€- nos ab illustri dilecto nostro Jacobo Segurio ‘ Traductionii I que la faction de l'Antecl1rist avait al- i Z < `. lumée pour desoler les églises et les em- « AUX TRES-ILLUSTBES PBINCESET SEIGNEUBS,, [ Néanmoins nous Tavons donné à CHRISTIAN, DUC DE SAXE, ETC. JEAN- Rues :, ‘,' lire a des hommes pieux et savants. D a- GEORGES, MARQUIS DE BBANDEBOUBG, ETC..,,,.,— -,,, p pres leur avis, certains points de contro- JOACHIM-FREDERIC, ADMINISTRATEUR DE-,,...,. ', ’ E A, O verse n étant point traites suivant les S'“““P^“““ “°““’“""‘^"°““ F““’. r0. m. constants. et Saimaiias, usitées ETC. PIIILIPPE-LOUISQ DUC DE BAVIEIIE,,. _..‘ ' par lEgl1se dans ses (IISCIISSIOTIS, ne sont ETC. JULES, DUC DE DBUNSWICL, ETC.,.,.~, pas tout a fâlll presentés de maniere que ULRICH, DUC DE MECKLEMBOURG, ETC... nous puissions les approuver sans examen. LOTS DUC DE WUBTEMBEBG’ ETC. NOS Comme au milieu du fracas de la guerre ' TMÉCHERS COUÉINS ET AMIS` qui troublaitalors la France, on ne pou- « Très-illustres Princes et très-chers Cou- vait délibérer immédiatement sur ce sujet sins, Nous n’avons pas oublié avoirreeu, avec une attention soutenue, il nous a en l'année 1585, des mains du noble Jac- semblé à propos de diltérer notreréponse ques de Ségur Pardailian, alors notre am- et d'attendre des temps plus calmes. Nous bassadeur, des lettres écrites par vous aux étions bien loin de prévoir que nos enne ;. . calendes de mars 1585, et avec ces lettres. mis nous opposeraient une aussi grande i -. un livre portant le titre de Concorderau- et une aussi longue résistance, el ;. nous quel vous nous priiez affectueusement de attendions des secours plus eilicaces. Dieu, ' donner notre adl1ésion.Vos lettres nous fu- aux jugements duquel nous nous sou- rent très-agréables ; le livre nous fut égale- mettons avec résignation, en a autrement , ment précieux, et par le titre et à cause de ordonné. Mais l noble sieur Jacques de ceux qui nous Yenvoyaient. A cette épo- Ségur, aujourdhui revenuprès de nous, _ que, tout au milieu de nousétait en com- ayant déclare que depuis longtemps plu- ` bustion, par suite de la guerreterrible sieurs princes, nos amis, demandaient
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