Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome2.djvu/473

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_ DU- ROI. DE NÀVÀBBE. A [163 'll}3.lS POUT S€I’VlI` Sl1I’lOIllà la pHl.I’lC 2. lîlïll Pll1S nous IIOUS HP€I’C€ - vons que les nouveautez s’y engendrent, tant plus devons nous vueiller à sa conservation. Vous avez jusques icy marché sincerement en lOlll,@S VOS 3.Cl, lOI1S ; CODlLlI1`l1€Z, jf} VOUS PI’l€', et ZISSBUTGZ [1Ilg chacun _ (IUC jt? DG hay I’lBl] tîzlïll les Cl']3I1g€HlGDS CO1'llÃI`€ lesquels j€.lÃOll1` IlCI‘3y `llOl1SjOl1I’S IHGS I1']Ol€ I1S et IDBS l’OI’C€S. Et HU. COl'l’lI’EliI’B, jë les employeray pour la consideration des bons du nombre desquels je ‘ ' vous tiens. Et comme je vous prie faire estat de ma bonne volonté. comme de . Vostre bien bon et asseuré ami, HENRY.. ` 'A_ Chastelrault, ce xxj“ mars 1589. ' qu’il avait rendus aux rois Henri UI et vous avez a mon service et la preuve que Henri lV, par lettres du mois de janvier vous en avez rendue par le soing et dili- 1597. Il était filssde Pierre de Jay, maire gence dont vous avez esté, pour maintenir A de Périgueux, en 1 5[i3 et 1 5l ;!;, et de Mar ma ville de Perigueux en mon obeissance, guerite Durand. ce que j'ay esté bien aise d’entendre. 2 Les recommandations qu'adresse ici Comme j’ay à plaisir de congnoistre ceulx le roi de Navarre à M. de Beaufort semblent qui me sont bons et allectionnez serviteurs, avoir trait à quelques projets de soulève- du nombre desquels ayant si bonne occa- I. ment des protestants en Périgord. Près de sion de vous tenir, je vous.ay bien voulu se rallier à Henri IH, le `roi de Navarre ne asseurer par la presente du gré que je vous _ pouvait plus encourager et soutenir de tels en sçay et vous exhorte de continuer ceste mouvementsll paraîtque salettre eut un devotion à mon dit service, croyant que heureux ellet dans ce sens pacifique, à en vous ferez chose qui me sera trés agreable, juger par les félicitations que Henri III etdont j'auray bonne souvenance, pourla . adressa le mois suivant au même Beau- recognoistre en ce qui sera pour vostre V fort, et dont la copie a été également prise bien et avancement : priant Dieu, Mons' de dans les archives de M. le comte de Beau- Beaufort, qu’il vous ayt en sa saincte garde. Fort, par M. Joseph de Mourcin : Escript à Tours, ce XVlJe jour d'avril‘1589 i ¤ Mons' de Beaufort, Le s' comte d’Es— «HENP.Y_» cars m'a tesmoigné la bonne volonté que _