Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome2.djvu/485

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DU ; 'FÈQI. DE RN AYA RRE. ZLY5 ` PORT l€L 11101115: L31SSOUS, P3!ll8Dy®nJ NB ;NOIü$c‘:ÉXOh1;S8S ;,¢:'!9‘1I1;€m BSDPBS la,'S ai_so :a. Mais. si Nous m’ainx_é, ss.et ;>si <vo»us youlés ; que je le. «e<royea, monstres l’exe1nple aux autres. Je te prye :, Crarpaiult, vi :en -moy ;trèuQ VBI`, Gt P9}}1‘I&S OU DE (1118 U1—VOl.lldI`2\SZ,'C3I` CD quel- que facon que Je te voye, tu seras le b1en venu. Ce que nous avons fait jusques i’cy' n"est pour rien compté, au prix de ce que nous fe- rons asture. A Dieu : Viçouse vous verra ; Vissouse vous dira tout. De Saumur, -ce XIXe avril? " ‘.i Ãnl|il. ¤'•i l /"1-il 'i¤J )...n|,..ix«-L.!.. i •». sig. !.._. ..., Vostre plus affectionne maistre et_arny,. ., 1 'ït..\. `— ;_..t<• °‘ 1-_. rl`: ¤ J';. " \i. ~»î,. »..I.. ». 'J «.. »»?. ‘._. »‘.., b\ 3.. sw E. ï en t ~. w ~ ; 2. ~ Ã`,..rx,¤. r ;' Ã;. il Qiîull ‘1" i.,.li.1; È- —..’î.:|, ^ °É.` -:. Ã.1. x¤ /r. t ‘; \..'« [l.589.——~VEBS'LE ig Avait.] - _ Orig. autographe. — Papiers de xnailame aè Prcissae—Lyonsel, à Pau. Copie transmise par M. Eng. = t. n..: s ; » » =~.».G¤¥9r<l¤1>@¤*3=s¥¤~s L. >. - na = '.. 'iai.; <i, i 1 t’I... ni. _. A _M(.lNS“ DE LA CHESE. ( '.: i•|F!= ':, -7'¤ nir-; ”..f}•'Zî.‘i'g I.).‘ ;.'€,.2.. .Mons' de lm Chesegilfay esté : biensaysel dbntendneïparz ceuxwqui sont venus devant vous, la ;resolution que Nous aviès prise dge les's1uvre de prés ; je vous prye l’ell’ectu~er~incontinernia ;• ca1:rjiay hesoimg *prés de mo du lus rand nombre de mes serviteurs, ains ue vous fera }‘ *• : — - ' entendre la Myletyere 1, et les occasions qui se presentent pour assu- Bertrnde de Guerre. ll fut conseiller et cette é o ue, et continua ses services à . P ll chambéllan (lu roi de Navarrel,‘et s11ccessi- Hèiiri IV,' roi Cle France'. Les autres `let vement gouverneui,"pour'cé prînèe, des tres "ü"M. de»‘LestelTeQ publiées ’dans ee villesde TonneinsÃ'Clairao et Montpellier. recueil, soiit’ consei vées”en’originàl par ' ; •-~'• ¤ ~ `«` \,, Ii nul,. l Il éta1t rel1g1onna1re zèle ; assista a toutes Ml *le v1coxn’te de Pant, son `descendant ‘ • \ l.*1 p 0 I l L- | *1; l•-|~ g les affaires qm signalerent les guerres dé dxrect.’ ‘“ ' . l|'(I ¢"‘il'i "x 5., i iii 1. il l'.")'|. l I U ' ' M. de la Miletière ne- put porter lui- ""**?« ~Ã*is'>`ns1ë1m on 1.A` ciixiziz. ' même cette lettre à M. de la Chaise, à 11;Monsieur?lI’o`üt'presentement jelviens qui elle fut envoyée par le duc d’Epernon, `élerecevoir une lettre'du de Navarre __ comme le prouve la lettre suivante, dont par ung gentilhomme de ses gardes, quiil |x • ¤¤ ‘,'.,‘ Q l ç ;* •. l • n ty ~ lorrgmal est éëalement conservé dans les m a envoyée pour vous faire temr en toute r' inn I,, U,. ny °, EQ,..,,._,.,.'., ` y v li pap1ers’de"n1a€lame’de Preissaclllyîlnselz diligence : ize que Je l’a1z par ce porteur, ' •..‘ 1* Ã! " l- =|; i i F. ilum. ; ai' ¤.l ¤` • '=' ` 60. -