i DE HENBIIV. - 97 _ 1589.- 7 nÉcEMBnE. —l'°. i Cop.-B. B. Fonds Leydet, Mémoires mss. sur Geoiïroy de Vivans, p. 8/i., _ . i [A MONS“ DE VIVANS.] p Mons' de Vivans, _.I’envoye le Guarnier, l’ung de mes serviteurs, . D que vous cognoisses, en Guyenne ; et luy ay commandé de vous voir, pour vous faire entendre de mes nouvelles et l'l1eureux succez qu'il `plaist à Dieu de donner a mes ailaires. Tespere qu’il continuera ceste mesme benediction envers moy, tant que _i’en verray la ruyne de mes ennemys. Croyes-le de ce qu’il vous dira de ma part, et vous dis- posés pour me. venir trouver ce printemps, comme je fais estat que tous mes anciens subjects etserviteurs Ieront. Vous serés le trés bien . venuè à tant je prie Dieu vous avoir, Mons' de Vivans, en sa saincte garde. Au' Mans, ce v1_]° decembre 1589. ‘ i . . HENRY. 1589. — 7 DÉCEMBRE. - II““°. ~ Cop. — A Londres, State papers' ofiice. France. Transcription de M. Lenglet. [A MESS“$ DE BEAUVOIR ET DE FRESNES.] l I Mess", Je n’ay receu vostre despescliedu xvif de novembre que le vif du present, par laquelle jlay veu la conlirmation de celle que m’aviés desja mande par les lettres du Xljc du dict novembre, tou- ' chant le prest de cinquante mil escus que la Royne, ma bonne sœur, m’avoit encores accordé, suivant la requeste que luy en avés faiote de ma part. Si vous aves receu la response que je vous feis (qui fut ` depuis monipartement vers Paris), vous aurési cogneu que je n’ay pas deliberé de me tenir longuement eslongné, ny me servir des deniers du dict prest, si ce n’est aux mesmes affaires pour lesquelles je l’ay demandé, qui est du costé du dict Paris, ou de Normandie ; et èn ceste intention vous manday ; que estans portez à Dieppe, je voulois qu’ils y fussent refermez jusques au temps que je pensois me retrou- LE'I’TBES»DB imm iv.—m. p 13 .
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