Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/214

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_ .£DEiçHENBI. lV.:' .à - _' $187 C’est eflectîde la?ju’stice de. Dieu, l.qui-tesmoigne evidemment»àe :mes A ennemys ce zque, ïdoibvent attendre .c’eulx qui eportent.les.1ai mesicontre leurÃdehv0'ir.gVique, avec des troupes ;sï1°a<_èu ;ameilleu~r, sortjen basse ` Normandie. Canis leur est tombé sus de telle furie u’il les a.c6ul y (I ‘l chez tous à plat. _C’eust esté .un triomphe compl_et, s’il ;nez l’avo it payé _ d’une seconde balafre ; enzla b’ouche2;'ce,; ui’n’em esche sonrhrave . Cl ll langaigegmais bien disoit-il à la Noue. de ne le plaindre pointgpuis- qulil lui en restoit assez pour crier Vive le Roy quand nous serons de-? dans Paris. Voilà certes, mon ame, un brave serviteur. ue ne 1n’ai`~ J . més vous_ autantl Dieu me donn era~t—il aussy victoire sur vostre cœur? Ce me sera la plus chere._ Bonsoir, _mon ame, je baise un million de fois vos blanches mains. Ce- cinq avril. — . .. . Il ai . i V l `,!A i .,§ "~, ir _,,;.51590. —.28 AYBIL. U . - :: ' ` Orig. — Archi des Médicis, légation française, liasse V. Envoi de M. lc ministre de France A à Florence. _ 4_, A MONCOUSIN .MONS*‘ LÈ GRAND-DUC DE TOSCANE. - u` ..; -...»-,, La 2. .,. " 5.1:: Mon‘. Cousin, >Ne pouvant vous exprimer .coînbien, jeT sens§;llobliga— tionque je vouswayade ; la'bonne_-volonté. que _vous tesmoignés envers moy par les —des_clarations ;.que vous en aves faictes, au' sï-, de Maisse, conseillerien monzconseil d?E_stat.et__mon a_mbassadeur,à;;Me¤iSe', et par plusieurs bons ;oflices que. vous rendés’continuellementr-à~, Padvan- 'tage de mes aH’aires,, ny l’estime ;;qu_e je _fais'de ;v_ost1je ; amitié`, Éque i par la creance queiay surce commise au .dict `s".de Maisse, pom~.e1a vous exposer, je vous prie le croire de ce qu’il vous dira de ma part comme moy—nïesme, et au surplus recevant 1ès’considèi atjoi1s de _, . ll . ‘ - M . sn.,,°*i l’estat de mes dictes allaires, selon qu’1l vous en representeraagla con- sequence, m’en vouloir porter le secours et assistance, dont il vous requerra aussyaen mon ;nom~;, vous asseulîant queiEie ;?MouS.;enaendray - telle retribution let' recompense, s’il*plaist à D1ea ; qaè ‘vous"aurés 1f _. D Ã: I . '. .; ., 1 Ã,,.,. . ; :'. i,. . $::1 fb i _ "*‘? §ur lanpremière-blessùre Èdu' marquis àe madame de :Gramont ; de lzùfin d'août de Canisy on peut voir ciJdessi1s=là lettre 1586'Jt. H,1p. 238È Ã " .' ° " '*v ` I 2A.' . L