_ DE HENRI IV. i 335 [1591.]-- 30 JANv1r.n. —IV“‘°. I I Orig. autographei—— Musée britannique, Mss. Egerton, u° 5, fol. 57. 'Franscriplion de M. Dclpit, archiviste paléographe. 'I _ i A MONS"‘ DE BEVOL. V Mons' de Revo], La Tour vous portera la depescl1e quiil emporte en Angleterre. Voyésla, et s'il y manque quelque cliose, comme en celle de mon_ cousin le vicomte de Turenne, faictesÃle ; ensemble une instruction. Teusse bien desiré que, pour ceste depescheilà et u11e_ infinité cl’aultres qui me sont survenues, vous eussiés esté prés de moy, ou vous 1]],8VéS faict besoin ; mais puisque cela ifa peu estre, advisés que la Tour avt la sienne. Despescl1és—le au plus tost, et datés ces lettres d’icy et du jour d’au_jourd’l11.1y. Je me repose sur vous de cela : et sur ce, Dieu vous ayt en sa saincte garde. De Senlis, ce xxx“‘° janvier. " ` . HENRY. l59l.——3'1 mivvina. '_ A Orig. — B. P1. Fonds Béthune, Ms. 9104, fol. Si). l I ` Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-3. A MESSM LESCAPPITAINES DES TBOUPES ESTBANGEBES. Mess“ les cappitaines, lay, esté bien ayse d’avoir entendu vostre ` arrivée en mon Royaulme, et' le serayi encores davantaige de vous veoir prés de moy avec vos compaignies, pour lesbons services que je me promets d’en recevoir : qui me Faict vous prier de vous ache- miner en mon armée, le plus tost que vous pourrés, avec asseurance I que vous y serés les bien venus et que ne sçauriés Servir prince qui I \ ayt plus de vollonté de recognoistre leshommes de valleur que moy. Ce 'pendant je prye Dieu qu’il vous ayt en sa sainctc et digne garde. De_ Nanteuil le Haudoin, ce dernier jour de janvier`15g1. — HENRY. ` u '_ rouen. i
