l59l.——22 Mans. ‘
Orig. — B. R. Fonds Béthune, 9104, fol. A8. _
. Cop. — Suppl. fri Ms. 'l009 3.
Imprimé. — Mémoires de Nevers, t. Il, p. 233, édit. in f’ol.
A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS. _
mm ms rmnce., -
Mon Cousin, Craignant que le duc de Lorraine.ou de Mayenne
approche de vostre chasteau de la Cassine-le-Duc, et que les trois
'canons de Sedan que vous y aves laissez soyent cause de leur faire
entreprendre sur vostre dict chasteau, _j’ay escript à ma cousine la
duchesse de Bouillon de les envoyer querir, et mande au s' de Til- '
longue de les luy deslivrer ; de quoy je vous ay bien voulu advertir,
aflin que vous en saichiés l’occasion :'et n’estant ceste-cy a aultre
eflect, je prie Dieu qu’il vous ayt, mon Cousin, en sa saincte et
digne garde. Du camp devant Chartres, le xx1_]“ jour de mars 1591.
HENRY. V
rouen. I
1591.- 23 MARS.
Orig. — Arch. municipales de Rennes. Transcription de M. Maillet, bibliothécaire.
A 'MONSR DE MONTBABOT. y,
' couvmmnun ne Mi virus nn mamies.
Mons' de Montharot, J’ay Faict voir à ceulx de lmon conseil les
lettres de grace de Claude de Varennes 1, lesquelles ayans esté trouvées
de justice, je les luy ay faict despescher volontiers, et de tant plus
pour le bon tesmoignage que vous m’avés donné des bons services
' Ce Claude de Varennes, un des capi surlemêmesujet, que le Boiécrivitàlaville
taines cinquanteniers de la ville cle Rennes, de Rennes, en lui annonçant qu’il avait sur-
avait tué Guillaume Moulnier. coxnme on tout fait grâce àVarennes en considération
le voit par une lettre, en date de ce jour, des bons services qu'il recevait de sa ville.
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LETTRES MISSIVES
