U Y ` d'Ev1 eux‘ etle dict F ontaine—Martel se sont trouvez prisonniers ez mains de nossoldats : Nous esperons que Dieu nous fera la grace de ' paracliever de nettoyer ce que nos ennemys occupent encor en ce pays, comme nous en avons la volonté. Donne au campde Vernon, leivfjoiir derjuing 1591*. ‘ ` . . HENRY. _ p i` il i i rorma. [1591.] — 8 JUIN. Origi autographe. — Cabinet de M. Camille Fabre, de Bordeaux. Copie transmise par Male secré- taire général de la Gironde. Cop. 5B. B. Fonds _Leydet, liasse VII, arch. de La Force, a" recueil, fol. àà verso. 4 J 5 A MONS“ DE LÀBCHANT. Mons" de Larchant, Ce mot sera pour vous dire la iascheuse nou- velle de la prinse de Louviers, de laquelle je m’asseure que vous ne . pleurerés poinct. J’ay icy avec moy vostre frere, qui dit qu’à ceste » beure vous et luy avés quelque chose, et que vous jouirés du bien, dont ces coquins vous empeschoient de jouir. Je vous prie de vous en venir avec mon cousin le cardinal de Bourbon. Le faict de Lou- viers est un miracle ; c’est Dieu qui en doit avoir Yhonneur, bien que l’aultre prinse au esté trés bien executée. Ce porteur vous en conterasles particularitez. J’espere qu’à vostre arrivée vous trouverés avoir quelque chose de meilleur ; Je beserois les mains à made de Lar- ', ' Y ° È - cb ant, ma1s_] e crains que vous en soyes jaloux. On m’a dit qu elle pleure quand il arrive quelque bon succés en mes affaires ; mandés moy si c’est de joye ou de fascheryei. Bonjour, De Nernon, ce v11J° juin. . *,, . HENRY- ` ' Claude de Xaintes, sur lequel on peut 'infatigable de révolte et undocteur de régi- voir l'excellente appréciation de M. Flo- _cide.»(Hisuduparlein.doN01‘mandf6.i III, quet, qui le signale comme a Yun des plus p. 523,4) I ` dangereux brouillons du royaume, un agent i
