DE HENRI IV. A ‘ 439 i reussisse le fruict que j’eu desire etqui mïest sy necessaire, et sans lequel je me. pou1 rois retrouver en grandepeine.; Le jugement que vous mesme en pouves faire vous tiendrailieu d'instruction sullisante, _ d’en pouvoir instruire et persuader les aultres, comme je vous prie de faire, et assister en ceste dicte allaire de tout ce que vous pouvés le dict s' de Bozieres, sur lequel.me .1 emettant, tant sur ce subject que sur l'estat de mes allaires dont il est bien informé, je ne vous i feray ceste—cy plus longue : priant Dieu, mon Cousin, vous conserver ‘ en sa saincte garde. Escript à Mante, le xv° jour de juillet 1591 .' _
` it FOBGET. 1591. g— 15 JU1L1.ETt —— II". i ~ Cop. — B. B. Fonds Leydet, Mémoires mss. sur Geolïroy de Vîvans, p. 8o. A MONS" DE VIVANSQ A _ CAEITAINE DE ClNQ(lANTEiHOMhlEE ITARMES DE MES ORDONNANCES, COMMANDANT EOUB HON j SERVICE Ã CAULMQNTJ - I Mons' de Yivans, J’ay esté bien aise dïentendresquemon cousin le marescbal de.l\/latignon soit party pour s'acheminer à- Domme. J e sçay bien que le soin que vous aves eu de l’en solliciter a bien ayde à le y faire resouldre. J’entends que vous seres si. bonnecompagnie, que je crois que à ceste fois vous recouvreres le ; chasteau Sarlat et tout ce que y tiennent les enuemys pres de vous ..... .J'escriray aussy pre- sentement à.mon dict cousin de vousuf’aire :valloirliordonnance que _ ` je vous ayfaict expedier pour Tentretenement de la garnison du .clias— teau de Caumont. Je sçais que vous. en aves tantde soing, que j ne puis apprehender qu’il enpuisse advenirinconvenient. De ce qui des- pendra de moy, vousî pouves bien vous asseurer que je. y pounvoiray le mieux qu’il sera possible. Puisque vous vous retrouvés prés de mon dict cousin le mareschal de Matignon, je vous remettray de mes
