I `DE'1 lEN' B1 1V.'_ — A '(L6? i y I . 1591.-19 AOUT.- -11m°. i A Orig.—B. B. Fonds Béthune, Ms. 9l0(|, fol. 86. I, I . i Cop. — B. B. Suppl. fr. Ms. lOO9-3. i — Imprimé.- Mémoires de Nevers, t. II, ip. 265.
SA MON COUSIN LE DUC DE NIVERNOYS.
‘ O l Pi\lB DE. FRANCE.
Mon Cousin, Ayant entendu que vous estes d’advis que les cappi- taines de Souches, Ferrière et Vil ers tiennent- arnison à D mon et . Y g, Y Turny, et esté des bons serv1ces~qu’ils m’ont fa1cts cy—devant et ceulx qu’ils continuent de me faire, je vous ay bien voulu escrire . ~ ., la resente, . our vous rxer de ourveolra leur entretenement et P P P _ payement de leurs compagnies, des deniers ordonne ; pour `l’entre- tenement des arnisons de Cham ai ne : et n’estant ceste-c à aultre ` S P È ._ Y ellect, Je prie D1eu qu`11 vous ayt, mon Cous1n,—en sa samcte et digne —_ garde. De Noyon, le-x1x° _jourd1aoust i5g1. ` HENRY., - _ rouen. _ I 1591 —— 22 Aoûr. `— _ Cop. — B. B. Suppl. fr. Ms.—l009—2. (D’après l’ancieii cabinet de M. de Mendajors) [A' MON COUSIN LÉ. DUC —DE MONTMORENCY.] Mon Cousin, Je vousay escript, depuis que-je suis à ce siege`, par unanessager qui avoit esté depesché icy par le president de Bour- _ gade, et vousenvoye par luy la commission de l’estat de procureur _ general en mon parlement-de Carcassonne pour celuy que vous m’avés mande. Je nîaypoinct eu depuis, ny de longtemps auparavant, au- ‘cune despesche de vous. J’en y bien, puis peu de jours, du seig’ AI4 phonse, qui me mande comme il se disposoit de vous aller trouver. JZestime.que —vous diftererés jusqifà son arrivée à vous approcher de , i 5g. i "
