I"", DE' HENRI IV. l173 volonté que nous leur portons, vous exbortons de vostre lpart de favoriser le faict du dict contract faict avec ledict du Verger, autant qu’il vous sera possible : ce que nousrecevrons à bien bon et agreable service. Donné au camp de Noyon, ce xxi11`]°_d’aoust 1591.
HENRY.,
` — ronear. . I 59I×27 Août'., ` [ U d Orîg. — ~ B. Pt. Fonds Béthune, Ms. 9104, _ fol. I Cop.- Suppl. fr. Ms, 1009-5., . ` Imprimé.-- Mémoires de Nevers, t. II, p. 265.
MON COUSIN LE DUC DE NEVERS.
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Mon Cousin, .I’escris un mot—à mon cousin le vicomte de Turenne pourïne le laisser incertain de mes nouvelles, et ay estimé que les lettres estans entre vos mains, vous aurés mo en de les lu faire , Y Y ten1r selon le lieu ou vous pourrés sçavoir qu'1l se trouvera ; qui 4 est cause que je les vous envoye, et vous prie leur donnerdla plus prompte et seure adresse qu’il se pourra, pour luy estre seurement portées. L’esperance que j'ay de ne tarder gueres à vous voir’me gar- dera faire la presente plus longue, que pour prier Dieu vous avoir, mon, Cousin, en sa saincte garde. Escript à- Noyon, ce xxv1_]° jour d’aoust 1591.p,
HENRY.
. I . mavot.
— 159I.—— 2.9 Aoûr. —
Cop.`—I3. Pi. Suppl, fr. Ms. 1009-2. (Uaprés Yancien cabine ; de M. de Mendajors.)
A MON COUSIN LE DUC DE MONTMOIIENCYY
Mon Cousin, Il y a quinze ou vingt jours que je vous escrivis par — un messager qu'adressa Forestier, qui faict icy vos allaires ; et vous tx-armes on anim xv.—`m. ôo
