` DE HENRI IV`. (175 U quentin ils se trouveront tout aussy bien trompez comme luy.'C’est ce que nous avons icy de nouvelles, desquelles je vous entretiens, n ayant rien à vous dire sur les vostres, pour lelong temps qu°1l y a que Je n’a_y pomct de vos lettres, et vois certainement qu’il y doibt avoir quelque despesohe perdue. Du reste, mon Cousin, je vous envoye les commissions des estats, que vous eussiés eues plus tost s’il s’en fust - ollert quelque seure commodité ; et me sers de celle de ce porteur, à Tadventure ; mais c'est parce queije fais estat dé vous envoyer un duplicata de la dicte despesche par le cappitaine Baron, qui doibt partir dlicy dans deux ou tro1s Jours-, afin que par une adresse ou par . l’aul tre vous ne uissiés faillir de recevoir Tune des dictes deux despesches. Il default à celle cy la commission des garnisons, parce que - llestat general d’icelles niest poinct encore resolu ; mais n’y ayant poinct à avoir de cliangementpour celles de vostre gouvernement, vouslaurés avec celle que portera le dict cappitaine Baron, à laquelle ' me reservant 'e ne vous fera ceste—c lus lon ue : riant Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa samcte garde. Du camp de Noyon, le xxnxt t jour d’aoust 1591.
HENRY.
' i roncar. [1591. — COMMENCEMENT DE SEPTEMBRE.]
C0 . - Arch. de la Couronne, salle 5, anciennes archives, Ms. 30, fol. 125 recto. _ P . _ Cop. — Bibliothèque de M. Monmerqué, Ms. intitulé : Despeschcs, instructions et commissions. .fol. 107 recto., _ Imprimé.- Tlzè Luc of.Thoma.s Egerton, lord chanccllor ef England, page Ail ;. /' . [A ROYNE DÀNGLETEPJÉE.]
Madame, Je ne pouvois recevoir tesmoignage plus signalé de l’amitié et faveur ulil vous laist me orter, ue d'avoir voulu commettre- la char edu nouveau secours e m’avés faict cebien de m’envo er . 3 qu ., _ à seigneur sy principal qu’est mon cousin le comte d’Essex : en quoy vous aves surmonte non mon souhait, qui, je confesse, regardoit sa » 60.
