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Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/598

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- DE HENRI IV. » 55g_ u ‘ 1592.-- 18 FÉVMER. —Il“‘°. i .' - i A Cop. —— B. B. Fonds Saint-Germain=Harlay, Ms. 33l, Fol. A2 recto. ` . * . A ANGEL, 'srnvxrmm onnnwac ne im camera, aesiniur vous ms Arraiars er serwmia , __ A ti cour. ne x. eMr>xar.cua, mou non maar. Mons' Ancel, Aussy tost que ma blessure, de laquelle je vous ay donné advis, m’a permis dlaller à la guerre, j'ay bien voulu faire sentir ames ennemys qu’elle n’est pas telle, Dieu mercy, qu’ils en faisoient courir le bruit, et qu’ils n’en tireront pas Padvantage qu’ils s’estoient. promis. Pour ce faire, je montay à cheval hier matin avec _quinze - cens chevaulx françois, et six cens harquebusiers tant à cheval que i à- pied, en intention d’aller lever le logis de Burel, ou estoient logez ' le duc de Guise et la Ch astre, avec onze cornettes de cavallerie et cinq regimens de gens de. pied. Coste mienne desliberation cuida estre interrompue par lairencontre que soixante chevaulx, que j'avois jectez devant moy, et quelques harquebusiers feirent de cent chevaulx enne- mys, conduicts par le comte de Chaligny, à une lieue et demie du logis du dict duc de Guise ; mais ils furent chargez sy resoluement, que soixante demourerent morts- sur la place, ou prisonniers : entre autres le dict comte de Chaligny, prisonnier et fort blessé? Le reste tion delettres de Burghley), dit au sujet de p liv. IH, chap. inv.') Tous les Anglais qui la part que Yun ou l'autre prit à l'all’aire : etaientàce siege mirent beaucoup d'ardeur — « Uambassadeur d'Angleterre `Edmond se à chercher les occasions d’y paraître avec déroba du Roi pour taster cette meslée, et éclat. Edouard Devereux, cousin du comte en fut repris par lui :.¤ (Hist. univ. t. ‘II. d'Essex, s’yètaitl’aittuerl’année précédente, ' Bures est un village sur la Béthune, Bures, par Chicot, fou du Roi, qui en’l’a— entre Neufchâtel et Dieppe Seine lnfé- menant à Henri IV lui dit : «Tiens, voilà rieure). ce que je te donne. ¤ D'Aubigne prétend -` "Ce prince, frère consanguin de la que Chicot cherchait depuis longtemps à ‘ reine douairière de France et du duc de se venger sur un prince lorrain des coups Mercœur, fut blesse et pris, au combat de de_ canne qu'il avait reçus du duc de Larmes ne mmm iv.-nx. i "72 `